Ah les cons... nos amis. Que ferait-on sans eux. Histoire de faire un peu plaisir à notre bonne amie Maëva (et c'est la seule bonne raison que j'ai de partager pour être honnête :D) je me permets de poster un traité hautement philosophique sur la connerie.
Tout d'abord, commençons par l'étymologie du mot "con"

Selon des études très poussées en connéologie, le mot con est certainement apparu lors d'une discussion de ce genre:

"Il faudrait trouver un mot court pour décrire ces gens qu'on trouve stupides
ces gens qu'on trouve bêtes
ces gens qu'on trouve débiles
ces gens qu'on... ces gens qu'on...
-ah ben voilà! les cons! c'est excellent ça"

(Etymologie du grand philosophe François Pérusse)
(et je sais que j'ai l'air très très qu'on après cette vanne)

Maintenant que nous sommes fixés sur l'origine du mot, place au traité lui-même: regardez tout autour de vous, et vous remarquerez que:

La connerie n'a pas d'âge

Personne n'est con parce qu'il est vieux ou jeune

La connerie n'a pas de sexe

Personne n'est con parce que c'est un homme ou une femme

La connerie n'a pas de caractéristiques physiques

Personne n'est con parce qu'il est blond ou brun ou rouquin

La connerie n'a pas de poids

Les gros ne sont pas plus cons que les maigres et vice versa

La connerie n'a pas de nationalité

Personne n'est con juste parce qu'il appartient à tel ou tel pays

La connerie n'a pas de religion

Personne n'est con juste parce qu'il croit en tel ou tel prophète

La connerie n'a pas de classe sociale

Personne n'est con parce qu'il est riche ni riche parce qu'il est con

 Au lieu de séparer les gens selon leur âge, leur poids, leur nationalité ou leurs croyances

Ne généralisez rien, et séparez 2 grandes catégories : les cons et les autres